Bilan neuropsychologique

Le bilan neuropsychologique se base sur l’utilisation de la WISC-IV (pour enfants) ou WAIS-IV (pour adultes). Il peut être accompagné d’autres tests en fonction de leur utilité respective. Son objectif est de faire état du fonctionnement cognitif d’un individu. Dans quel cadre trouve t-il son utilité ?

⁃ Lorsqu’un enfant/adolescent est en difficulté scolaire . Il existe de nombreuses difficultés cognitives qui peuvent se manifester dans le cadre scolaire et être handicapantes : dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dyspraxie, dysphasie, troubles attentionnels, troubles des fonctions exécutives…Le bilan neuropsychologique permet de poser des hypothèses quant à ces difficultés, et éventuellement de déboucher sur des aménagements spécifiques à mettre en place en classe (AVS, tiers temps supplémentaire pour les examens, devoirs spécifiques, adaptation de la pédagogie…).

⁃ Lorsque l’on suspecte un enfant « surdoué » . Le bilan permet de faire le point, et de voir si l’enfant possède effectivement des capacités hors de la norme ,et le cas échéant, de réfléchir à ce que cela peut impliquer (saut de classe, prise en charge psychothérapeutique…).

⁃ Lorsqu’un adulte est victime d’un accident et que l’on constate un changement par rapport à ses capacités antérieures. Le bilan permet de faire le point sur les fonctions cognitives conservées intactes, et celles qui ont subi des dommages. Cela permet d’orienter la prise en charge a posteriori.

⁃ Lorsqu’une personne âgée pense décliner cognitivement . Le bilan permet d’évaluer si le déclin fait partie du processus de vieillissement normal ou s’il peut être signe de troubles spécifiques (maladie d’Alzheimer, troubles cognitifs débutants…). Dans ce cas, une orientation en consultation mémoire sera conseillée.

⁃ Lorsqu’une personne, quel que soit son âge, est curieuse d’en savoir plus sur ses forces et ses faiblesses au niveau cognitif, ou lorsqu’elle est désireuse de connaître son quotient intellectuel (QI) .

Le jeune enfant

Un enfant peut rencontrer plusieurs types de difficultés qu’il est nécessaire d’accompagner : difficultés scolaires, cognitives, affectives, alimentaires, ou encore problèmes de maltraitance.

La prise en charge d’un enfant diffère de celle d’un adulte, en ceci qu’il n’est en général pas à l’origine de la consultation (initiative des parents), et qu’il est encore en pleine phase de développement.La manière d’appréhender la relation thérapeutique est donc spécifique, utilisant des médiateurs tels que le jeu, le dessin… qui permettent à l’enfant d’être dans un climat de confiance et de se livrer plus facilement.

Il est préférable que l’enfant soit reçu seul, afin que sa parole soit la plus libre possible.

L’adolescent

L’adolescence est la période de tous les changements  (corporels, scolaires, mentaux…), mais aussi celle où la personnalité va se forger.

Cette phase de transition entre l’enfance et la vie adulte n’est pas facile à gérer et peut engendrer, à des degrés d’importance différents, des troubles particuliers, comme ce que l’on appelle « la crise d’adolescence », mais aussi les problèmes de dépression, d’anorexie/boulimie, voire l’émergence (ou la suspicion) d’éventuels troubles de la personnalité…

L’adolescent vient souvent en consultation à l’initiative de ses parents, eux-mêmes inquiets ou surpris de certains changements, ou repérant des difficultés d’adaptation, ce qui est à prendre en compte dans la relation thérapeutique, dans laquelle le psychologue ne doit pas être perçu comme un « agent » au service de l’autorité parentale.

L’adulte

Lorsque nous sommes adultes, nous avons atteint un certain niveau de maturité psychique, mais cela ne nous empêche pas de devoir faire face à de nombreuses contrariétés (problèmes relationnels, professionnels, familiaux, sexuels, deuils…) pouvant mettre à mal l’équilibre que nous avons construit. Plusieurs réactions sont alors possibles, et certaines peuvent se traduire par des troubles divers et variés : Dépression, Stress post-traumatique, Anxiété/Stress, Burn-out…

Parfois, ce sont des éléments de notre personnalité, de notre manière d’être, qui semblent nous empêcher d’avancer : Manque de confiance en soi, mauvaise gestion des émotions, agressivité…

Enfin, il nous arrive également de souffrir de troubles qui nous handicapent au quotidien de manière importante : Phobies, T.O.C…
Dans toutes ces situations, le psychologue est là pour vous aider à utiliser les outils adéquats qui vous permettront de sortir d’une situation problématique, et surtout, pour que vous puissiez gérer en autonomie ce type de situation si elle se reproduit.

Le couple

La relation de couple peut être mise à mal par un nombre important de facteurs : Le manque de communication, la routine, l’infidélité, la sexualité …

Lorsque l’on ne se sent plus heureux en couple, mais que l’on ressent tout de même l’envie de continuer avec le/la même partenaire, il peut être intéressant de faire appel à une personne extérieure, hors de tout jugement, et de tout parti pris.

Avec l’aide du psychologue, il sera alors possible d’explorer les différentes facettes d’une relation, et ce qui fait qu’elle ne fonctionne plus comme on le souhaite, l’objectif étant d’identifier la dynamique de couple, afin de trouver la meilleure issue possible pour les parties concernées.

La personne agée

Lorsque l’on vieillit, certaines problématiques peuvent émerger ou devenir plus prégnantes : la solitude, l’ennui, le déclin cognitif, la « perte » du statut social, ou encore la perte des proches de notre âge.

Le psychologue peut alors intervenir en accompagnant et soutenant la personne en souffrance, tout en lui apportant certaines pistes de réflexion ou d’action pour contrer la dynamique de pertes successives qui se produit lorsque l’on avance en âge.

Bilan neuropsychologique

Le bilan neuropsychologique se base sur l’utilisation de la WISC-IV (pour enfants) ou WAIS-IV (pour adultes). Il peut être accompagné d’autres tests en fonction de leur utilité respective. Son objectif est de faire état du fonctionnement cognitif d’un individu. Dans quel cadre trouve t-il son utilité ?

⁃ Lorsqu’un enfant/adolescent est en difficulté scolaire : Il existe de nombreuses difficultés cognitives qui peuvent se manifester dans le cadre scolaire et être handicapantes : dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dyspraxie, dysphasie, troubles attentionnels, troubles des fonctions exécutives…Le bilan neuropsychologique permet de poser des hypothèses quant à ces difficultés, et éventuellement de déboucher sur des aménagements spécifiques à mettre en place en classe (AVS, tiers temps supplémentaire pour les examens, devoirs spécifiques, adaptation de la pédagogie…).

⁃ Lorsque l’on suspecte un enfant « surdoué » : Le bilan permet de faire le point, et de voir si l’enfant possède effectivement des capacités hors de la norme ,et le cas échéant, de réfléchir à ce que cela peut impliquer (saut de classe, prise en charge psychothérapeutique…).

⁃ Lorsqu’un adulte est victime d’un accident et que l’on constate un changement par rapport à ses capacités antérieures : Le bilan permet de faire le point sur les fonctions cognitives conservées intactes, et celles qui ont subi des dommages. Cela permet d’orienter la prise en charge a posteriori.

⁃ Lorsqu’une personne âgée pense décliner cognitivement : Le bilan permet d’évaluer si le déclin fait partie du processus de vieillissement normal ou s’il peut être signe de troubles spécifiques (maladie d’Alzheimer, troubles cognitifs débutants…). Dans ce cas, une orientation en consultation mémoire sera conseillée.

⁃ Lorsqu’une personne, quel que soit son âge, est curieuse d’en savoir plus sur ses forces et ses faiblesses au niveau cognitif, ou lorsqu’elle est désireuse de connaître son quotient intellectuel (QI) .